C’est certainement parce qu’on m’en avait pas dit du bien que je ne m’étais jamais engagé sur cette grande manifestation sportive organisée dans la capitale. Tous les ans, pourtant, je mettais un point d’honneur à aller encourager les concurrents sur le bord de la route.
Cette année, j’ai eu la chance de gagner un dossard grâce à http://www.conseils-courseapied.com/ C’est ainsi, que le vendredi 12 octobre 2013, je me suis rendu pendant l’heure du repas au Trocadéro pour retirer mon dossard, le maillot officiel et un tee-shirt "Conseils-courseapied - Boutique Marathon".
Je sais que le jour de la course je ne serais pas au top forme. La veille j’ai un repas d’anniversaire et 15 jours avant j’avais parcouru les 100 km de Millau.
C’est donc sans prétention et pour le plaisir qu’à 8h20 j’arrive au Trocadéro accompagné de Francis. Le jour se lève et laisse présager que le soleil sera avec nous ce matin. Mais un petit vent rend le fond de l’air frais, ce sera certainement des conditions idéales pour courir.
La première personne que je croise est le bagnard, que je salue vite fait à l’entrée du village de la course. Mon gain me permet d’accéder à cet espace, ce qui me permettra de me changer dans le stand de l’équipementier Mizuno où, pour le moment, il fait meilleur qu’à l’extérieur et où, je vais croiser de nombreuses têtes connues du monde du running présentes sur le web.
Le village est le lieu où les partenaires de la manifestation accueillent leurs invités, où les VIP sont choyées et où les cadors font leurs premières foulées d’échauffement. Le petit coureur que je suis en prend plein les mirettes.
C’est donc sans prétention et pour le plaisir qu’à 8h20 j’arrive au Trocadéro accompagné de Francis. Le jour se lève et laisse présager que le soleil sera avec nous ce matin. Mais un petit vent rend le fond de l’air frais, ce sera certainement des conditions idéales pour courir.
La première personne que je croise est le bagnard, que je salue vite fait à l’entrée du village de la course. Mon gain me permet d’accéder à cet espace, ce qui me permettra de me changer dans le stand de l’équipementier Mizuno où, pour le moment, il fait meilleur qu’à l’extérieur et où, je vais croiser de nombreuses têtes connues du monde du running présentes sur le web.
Le village est le lieu où les partenaires de la manifestation accueillent leurs invités, où les VIP sont choyées et où les cadors font leurs premières foulées d’échauffement. Le petit coureur que je suis en prend plein les mirettes.
Le "village" après la course.
Une fois en tenue, la photo de groupe faite à l’arrache pour ce qui me concerne, je retrouve Francis avant d’aller me positionner dans le SAS partenaires. Un petit détail au passage, j’ai trouvé que les sanitaires manquaient un peu de ce côté du dispositif.
A 15 minutes du départ, la difficulté va être de rejoindre le bon SAS.
Il me faut contourner les deux SAS préférentiels, pour rejoindre la zone numéro 4 du plan dont l’entrée est sur le pont d’Iena. Le passage n’est pas large avec en face, un public important et des coureurs souhaitant rejoindre les SAS préférentiels. C’est un beau bordel, ça se bouscule, ça bouchonne et quand j’entre enfin dans le SAS, le départ est dans 3 minutes.
Je ne suis pas loin de l’arche matérialisant la ligne de départ et du podium où Michel Cymes donnera le départ.
L’attente sera brève, le pistolet va lâcher les dizaines de milliers de coureurs. Les élites s’élancent suivis les coureurs des SAS préférentiels 2 et 3 puis c’est notre tour.
Je passe la ligne 3 minutes après le coup de feu. Comme je ne me suis pas bien échauffé, que ça commence par une légère pente et qu’il y a beaucoup de monde mon départ est prudent, je ne m’enflamme pas.
Je passe la ligne 3 minutes après le coup de feu. Comme je ne me suis pas bien échauffé, que ça commence par une légère pente et qu’il y a beaucoup de monde mon départ est prudent, je ne m’enflamme pas.
C’est à partir du second kilométre, sur la large avenue Foch, que je vais prendre mon rythme de croisière. En entrant dans le bois de Boulogne, un léger vent frais nous accompagne mais rien de bien méchant.
Peu avant le 5 km, que je vais passer en 25 minutes, je dépasse le convoi exceptionnel du Bagnard qui encadre la tour Eiffel.
Jusque-là, tout va bien. Ma montre affiche une moyenne de 5’ au kilomètre qui me convient parfaitement. En quittant l’hippodrome de Longchamp, une petite pente va faire baisser légèrement ma moyenne que je rattraperais en redescendant sur la porte d’Auteuil en longeant l’hippodrome du même nom.
C’est là que je vais apercevoir Marc et Francine. Je m'arrête pour les féliciter de leur marathon d'Amiens couru la veille.
Une petite photo de Francine et je repars.
Peu avant le 5 km, que je vais passer en 25 minutes, je dépasse le convoi exceptionnel du Bagnard qui encadre la tour Eiffel.
Jusque-là, tout va bien. Ma montre affiche une moyenne de 5’ au kilomètre qui me convient parfaitement. En quittant l’hippodrome de Longchamp, une petite pente va faire baisser légèrement ma moyenne que je rattraperais en redescendant sur la porte d’Auteuil en longeant l’hippodrome du même nom.
C’est là que je vais apercevoir Marc et Francine. Je m'arrête pour les féliciter de leur marathon d'Amiens couru la veille.
Une petite photo de Francine et je repars.
merci Francine pour la photo !
Après cet arrêt, je vais faire une erreur, essayer de rattraper le temps perdu. Je vais me griller d’autant que la fin de parcours n’est pas la plus facile.
A l’entame du boulevard Exelmans, le meneur d’allure des 1h30 me met un vent. Un calcul rapide dans mon petit cerveau me fait dire, qu’en étant parti 10 minutes après notre vague, il est parti pour faire 1h30 au chrono officiel, c’est certainement la raison pour laquelle il est tout seul...
Bref, nous allons quitter des quartiers que je ne connais pas trop pour rejoindre les quais de Seine et sa célèbre voie Georges Pompidou. 8 km de quais avec des passages sous des ponts, des tunnels et donc quelques petites descentes et montées qui cassent un peu mon petit rythme.
Au 13e lilometre, ma montre affiche à nouveau 5' au kilo, pour l'instant ça va encore.
Nous allons repasser pas loin du point de départ et la foule se fait de plus en plus nombreuse à chaque entrée et sortie de tunnel. Ca fait du bien au moral, puis, après le 16e km, au niveau des Tuileries, j’aperçois l’ami Pascal en plein milieu de la chaussée l’appareil photo à la main.
Il va bien m’encourager et me photographier pendant 3 kilomètres. C’est sa séance de fractionnés du jour.
A l’entame du boulevard Exelmans, le meneur d’allure des 1h30 me met un vent. Un calcul rapide dans mon petit cerveau me fait dire, qu’en étant parti 10 minutes après notre vague, il est parti pour faire 1h30 au chrono officiel, c’est certainement la raison pour laquelle il est tout seul...
Bref, nous allons quitter des quartiers que je ne connais pas trop pour rejoindre les quais de Seine et sa célèbre voie Georges Pompidou. 8 km de quais avec des passages sous des ponts, des tunnels et donc quelques petites descentes et montées qui cassent un peu mon petit rythme.
Au 13e lilometre, ma montre affiche à nouveau 5' au kilo, pour l'instant ça va encore.
Nous allons repasser pas loin du point de départ et la foule se fait de plus en plus nombreuse à chaque entrée et sortie de tunnel. Ca fait du bien au moral, puis, après le 16e km, au niveau des Tuileries, j’aperçois l’ami Pascal en plein milieu de la chaussée l’appareil photo à la main.
Il va bien m’encourager et me photographier pendant 3 kilomètres. C’est sa séance de fractionnés du jour.
Merci l’ami pour tous ces souvenirs !
Le pont Royal nous emmène sur la rive gauche et sur les nouveaux quais aménagés désormais fermés définitivement à la circulation.
Il faut rester vigilant, car certains équipements rétrécissent la chaussée ce qui resserre le peloton et pourrait provoquer des chutes.
Pascal me laisse après l’arche du 19e km, la remontée des quais de Seine n’est pourtant pas longue mais elle est terrible pour moi. Une fois sur le quai Branly, les cris de la foule, puis la voix speaker me redonnent le moral mais les jambes n’en peuvent plus.
Un petit coucou au photographe et l’arrivée est là, c’est le soulagement mais heureux de l’avoir fait.
Devant moi, Karine Le Marchand en a terminé aussi, le speaker lui demande ses impressions.
On me remet un sac contenant de quoi se ravitailler puis une très belle médaille, mais je ne m’attarde pas au risque d’avoir froid, je file vite fait au le village pour me changer... à 2 mètres de Laurent Petitguillaume et de Karine Le Marchand. J’ai raté une photo de Raymond Domenech.
Je ne traîne pas et comme je ne retrouverai pas Francis, c’est seul que je vais reprendre le metro pour rentrer à la maison.
Finalement, cette classique parisienne a du charme. Le parcours est agréable et j’y reviendrai peut-être, il y a tellement de courses à faire...
Finalement, cette classique parisienne a du charme. Le parcours est agréable et j’y reviendrai peut-être, il y a tellement de courses à faire...
Merci à Gilles Dorval et conseils-courseapied.com
Merci à l’organisation, à tous les bénévoles. Site de la course
Merci à tous pour votre soutien.
http://www.openrunner.com/index.php?id=2990338
Mes photos et celles des ami-e-s récupérées sur la toile
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