En 2007 j'accrochais pour la première fois un dossard sur mon maillot ici même, à l'occasion de la seconde édition de cette manifestation nature et nocturne. C'est aussi ici que j'ai croisé pour
la première fois un type déguisé en Bagnard avec un boulet qui malheureusement ne sera pas avec les dunes d'espoir ce soir en raison de pépins de santé pour lesquels je lui souhaite un prompt
rétablissement.
Cette année là, 187 coureurs ont franchi la ligne d'arrivée du 10 km. Désormais les inscriptions sont closes fin octobre. Il s'y prendre très tôt si on veut participer à cette course super sympa, accessible au plus grand nombre et très bien organisée. Cette course à donc un caractère particulier pour moi, plus encore ce soir puisque je m'alignerai pour la première fois sur le 18 km.
Cette année là, 187 coureurs ont franchi la ligne d'arrivée du 10 km. Désormais les inscriptions sont closes fin octobre. Il s'y prendre très tôt si on veut participer à cette course super sympa, accessible au plus grand nombre et très bien organisée. Cette course à donc un caractère particulier pour moi, plus encore ce soir puisque je m'alignerai pour la première fois sur le 18 km.
16 heures, je retrouve Pascal et Isabelle qui m'accompagnent dans cette aventure. Quelle galère pour sortir de la capitale en direction du grand ouest parisien, à deux pas de l'Eure et loir. Tant
bien que mal nous arrivons à Houdan où je fais le plein de légumes dans une ferme que je connais puis direction Montfort l'Amaury, à une bonne dizaine de kilomètres où nous trouvons facilement
une place face au gymnase.
Nous avons 1 h 20 devant nous pour nous préparer. Ça commence à s'agiter dans la salle mais pas encore de queue pour récupérer le dossard et les cadeaux.
Nous avons 1 h 20 devant nous pour nous préparer. Ça commence à s'agiter dans la salle mais pas encore de queue pour récupérer le dossard et les cadeaux.
En se préparant tranquillement Pascal voit arriver un collègue de son club. Peu après Jenifer qui vient nous saluer puis d'autres membres de la SAM Paris 12 Montrouge arrivent et je dois me
transformer en photographe pour le prix d'une bise que j’attends toujours.
Vers 19h40 on nous demande de rejoindre la place du marché, à 700 m de la salle, point de départ et d'arrivée de l'épreuve. Nous nous y rendons en trottinant pour nous réchauffer et profitons de ces derniers instants pour régler la frontale. Un rapide briefing est fait où on nous demande d'être très prudent dans les escaliers. On nous annonce aussi que la forêt est très humide.
Vers 19h40 on nous demande de rejoindre la place du marché, à 700 m de la salle, point de départ et d'arrivée de l'épreuve. Nous nous y rendons en trottinant pour nous réchauffer et profitons de ces derniers instants pour régler la frontale. Un rapide briefing est fait où on nous demande d'être très prudent dans les escaliers. On nous annonce aussi que la forêt est très humide.
Après la joëlette des dunes d'espoir qui s'élance sous les applaudissements de toutes les personnes présentes, nous serons les prochains à partir suivi, 20 minutes plus tard, du 10 km et de la
marche nordique.
La fusée lancée du haut de la ville, au pied de la tour d'Anne de Bretagne, donnera le départ de la course et c'est à ce moment précis que je déclenche le chrono après bien sûr s’être souhaité une bonne course.
Pour l'avoir déjà fait plusieurs fois je comptai partir tranquillement mais je me suis un peu emballé. C’est qu’après quelques centaines de mètres ça va commencer à grimper et de plus en plus pour arriver au point culminant de la ville.
A partir de là Pascal s’envole. Je ne sais pas où est Isabelle.
La fusée lancée du haut de la ville, au pied de la tour d'Anne de Bretagne, donnera le départ de la course et c'est à ce moment précis que je déclenche le chrono après bien sûr s’être souhaité une bonne course.
Pour l'avoir déjà fait plusieurs fois je comptai partir tranquillement mais je me suis un peu emballé. C’est qu’après quelques centaines de mètres ça va commencer à grimper et de plus en plus pour arriver au point culminant de la ville.
A partir de là Pascal s’envole. Je ne sais pas où est Isabelle.
S'en suivra une descente d’escaliers très prudente pour tous les concurrents. Puis de nouveau une petite et longue côte qui nous amène dans la forêt domaniale de Rambouillet. Jusque-là tout va
bien.
Cette première partie de forêt ne nous propose pas de grosse difficulté hormis les nombreuses zones boueuses et des flaques d'eau qui rendent les larges chemins glissants. 4e km, je dépasse la joëlette en encourageant ces courageux coureurs au grand cœur. 600 mètres plus loin j’aborderai avec prudence là encore cette première descente jusqu’au point de séparation des parcours du 18 et du 10 km.
Quelques coureurs ont profité de ce dénivelé favorable pour me mettre un vent mais je vais les rattraper dans la côte vers le 6e km. Elle me paraît bien longue cette côte. Les frontales font bien ressortir les nombreux éléments réfléchissants de la file de coureurs qui se suivent et qui nous montrent le chemin. Presque au sommet, un mauvais appui, mon pied qui glisse et là je dois me résigner à marcher, impossible de repartir. D'un autre côté je me dis que ce n'est pas plus mal car je pense déjà à la phase finale. Après cette petite difficulté nous nous dirigeons vers Les Mesnuls. Les portions bitumées sont plus nombreuses et j'ai l'impression que nous descendons plus que nous ne montons, quelle surprise nous attend ? Les premières maisons, pardon, je devrais plutôt dire les premiers manoirs, châteaux ou villas sont là. Certaines demeures sont éclairées et nous montre à quelle point elles sont somptueuses.
Cette première partie de forêt ne nous propose pas de grosse difficulté hormis les nombreuses zones boueuses et des flaques d'eau qui rendent les larges chemins glissants. 4e km, je dépasse la joëlette en encourageant ces courageux coureurs au grand cœur. 600 mètres plus loin j’aborderai avec prudence là encore cette première descente jusqu’au point de séparation des parcours du 18 et du 10 km.
Quelques coureurs ont profité de ce dénivelé favorable pour me mettre un vent mais je vais les rattraper dans la côte vers le 6e km. Elle me paraît bien longue cette côte. Les frontales font bien ressortir les nombreux éléments réfléchissants de la file de coureurs qui se suivent et qui nous montrent le chemin. Presque au sommet, un mauvais appui, mon pied qui glisse et là je dois me résigner à marcher, impossible de repartir. D'un autre côté je me dis que ce n'est pas plus mal car je pense déjà à la phase finale. Après cette petite difficulté nous nous dirigeons vers Les Mesnuls. Les portions bitumées sont plus nombreuses et j'ai l'impression que nous descendons plus que nous ne montons, quelle surprise nous attend ? Les premières maisons, pardon, je devrais plutôt dire les premiers manoirs, châteaux ou villas sont là. Certaines demeures sont éclairées et nous montre à quelle point elles sont somptueuses.
A un croisement des bénévoles nous annoncent qu'il reste 7 km. Effectivement, mon GPS affiche un peu plus de 11e km. Je n'ai pas vu le temps passer. Par contre je pensais qu'un ravitaillement
nous attendait là mais comme je n'ai pas bien regardé le règlement je me retrouve le bec dans l'eau. Pas grave, je vais composer sans et au final ça ne m’aura pas gêné. Au 13e km, nos sommes
revenus sur le parcours du 10 km, virage à gauche et là ça grimpe doucement mais sûrement à nouveau. Je reviens sur tous les concurrents qui excellent dans les descentes et sur le plat. Parmi ces
coureurs que je retrouve régulièrement une féminine, une certaine Wendy qui est régulièrement encouragée par des coureurs comme par des spectateurs et même des bénévoles. Il y aussi une autre
féminine qui dit sans arrêt à son accompagnateur de lever le pied.
Nous dépassons des concurrents de la marche nordique et des attardés du 10 km. Je reconnais bien le parcours. Je sais qu’après cette belle ligne droite sur le bitume une longue descente va nous
ramener en ville. Les premières habitations de Montfort l'Amaury sont là, je dépasse un groupe de joyeux lurons portant pour la plupart un maillot orange. L'un deux pense que la fin est proche.
Il ne sait pas qu'il faut remonter au donjon.
Si si, d'ailleurs les premières marches sont là. Alors que tout le monde les aborde en marchant je les avale d'un trait mais un virage serré à gauche me coupe mon élan et je terminerai cette première ascension comme je peux.
Nous retrouvons le bitume, je me remets à courir. Dernière série de marches, je les aborde à fond ; Enfin, quand je dis à fond c'est à fond pour moi. Et je dépasse encore et encore des coureurs. Certainement du 10 km mais certains occupent toute la largeur des escaliers.
Pardon, Pardon, les premiers m’entendent et s’écartent, les suivants ne bougeront pas d’un iota et m’obligeront à m’arrêter. Heureusement nous sommes quasiment au sommet et je suis revenu sur Wendy que je ne compte pas laisser partir mais c’est qu’elle ne compte pas en rester là et veux profiter de la descente pour reprendre la poudre d’escampette.
Et elle a de la chance, car la semelle de ma chaussure gauche a bougé et j'ai du mal à mettre le pied au sol. Je vais finir tant bien que mal en revenant quand même sur elle, car je termine sur ses talons. Je suis aussi surpris, car je n’ai pas vu le temps passer, j’aurai aimé que ça dure un peu plus longtemps...
Si si, d'ailleurs les premières marches sont là. Alors que tout le monde les aborde en marchant je les avale d'un trait mais un virage serré à gauche me coupe mon élan et je terminerai cette première ascension comme je peux.
Nous retrouvons le bitume, je me remets à courir. Dernière série de marches, je les aborde à fond ; Enfin, quand je dis à fond c'est à fond pour moi. Et je dépasse encore et encore des coureurs. Certainement du 10 km mais certains occupent toute la largeur des escaliers.
Pardon, Pardon, les premiers m’entendent et s’écartent, les suivants ne bougeront pas d’un iota et m’obligeront à m’arrêter. Heureusement nous sommes quasiment au sommet et je suis revenu sur Wendy que je ne compte pas laisser partir mais c’est qu’elle ne compte pas en rester là et veux profiter de la descente pour reprendre la poudre d’escampette.
Et elle a de la chance, car la semelle de ma chaussure gauche a bougé et j'ai du mal à mettre le pied au sol. Je vais finir tant bien que mal en revenant quand même sur elle, car je termine sur ses talons. Je suis aussi surpris, car je n’ai pas vu le temps passer, j’aurai aimé que ça dure un peu plus longtemps...
Pascal et là, en pleine discussion avec ses camarades de club qui ont terminé leur dix bornes Il attend Isabelle qu’il n’a pas vu passer. Elle arrivera 2 minutes après moi. Direction la salle
pour se changer et profiter d’un ravitaillement très copieux et varié. Comme les résultats du 18 km mettent du temps à arriver nous décidons de rentrer. Nous sommes tous satisfaits et contents de
notre balade nocturne.
Pour terminer je tiens à remercier l'organisation, les bénévoles et toutes les personnes qui contribuent à la réussite de cette très belle manifestation accessible au plus grand nombre, car le
parcours n’est pas très difficile. Pour des premiers pas dans le trail et dans la course nocturne c’est la course qui vous conviendra.
Encore besoin du RIA pour nettoyer les pompes...
Mes photos : https://picasaweb.google.com/113245630134072672330/20121110LesFlambeaux#5809525525110541554 Openrunner : http://www.openrunner.com/index.php?id=2078440
Garmin : http://connect.garmin.com/activity/242064898
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